Jean-Paul CARTERON, en l’occurrence, a noté dans la foulée que ces agriculteurs nourrissent seulement 2 milliards de personnes. Il s’exprimait lors du Forum d’investissement de la Cedeao (EIF) 2024 à Lomé au Togo, les 4 et 5 avril 2024.
Il a souligné que « cela signifie qu’un petit agriculteur nourrit 4 personnes seulement ». Traduisant également que « chaque petit agriculteur nourrit sa famille ».
A l’en croire, on retrouve en Afrique 80% de ces petits agriculteurs, et 80% d’entre eux sont des femmes, travaillant dans les conditions difficiles.
Pour lui, l’objectif de la recherche d’investisseurs pour le secteur de l’agriculture est de créer un cercle vertueux. En effet, a-t-il expliqué, avec l’apport des investisseurs, nous pouvons alors offrir des produits et des technologies simples pour augmenter la production.
Une fois que ces femmes qui cultivent arrivent à produire suffisamment pour leur famille, a-t-il ajouté, un excédant peut se créer. Avec cet excédant, il a soutenu que ces femmes vont pouvoir aller sur les marchés pour vendre et stimuler l’économie, ce qui les transforme en agents économiques.
Afin d’avoir des investisseurs étrangers et de mener des projets sur le long terme, Jean-Paul CARTERON trouve qu’il y a plusieurs aspects à prendre en compte. Il s’agit notamment, selon lui, de la stabilité politique et la crédibilité qui en découle, de la sécurité du pays et de la région, et de l’exploitation optimale des terres agricoles disponibles.
Bassirou MBAYE
lejecos
Il a souligné que « cela signifie qu’un petit agriculteur nourrit 4 personnes seulement ». Traduisant également que « chaque petit agriculteur nourrit sa famille ».
A l’en croire, on retrouve en Afrique 80% de ces petits agriculteurs, et 80% d’entre eux sont des femmes, travaillant dans les conditions difficiles.
Pour lui, l’objectif de la recherche d’investisseurs pour le secteur de l’agriculture est de créer un cercle vertueux. En effet, a-t-il expliqué, avec l’apport des investisseurs, nous pouvons alors offrir des produits et des technologies simples pour augmenter la production.
Une fois que ces femmes qui cultivent arrivent à produire suffisamment pour leur famille, a-t-il ajouté, un excédant peut se créer. Avec cet excédant, il a soutenu que ces femmes vont pouvoir aller sur les marchés pour vendre et stimuler l’économie, ce qui les transforme en agents économiques.
Afin d’avoir des investisseurs étrangers et de mener des projets sur le long terme, Jean-Paul CARTERON trouve qu’il y a plusieurs aspects à prendre en compte. Il s’agit notamment, selon lui, de la stabilité politique et la crédibilité qui en découle, de la sécurité du pays et de la région, et de l’exploitation optimale des terres agricoles disponibles.
Bassirou MBAYE
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