« Encore une fois, le maître-chanteur François Soudan, journaliste de son état, fait des siennes. Les Sénégalais se rappellent encore le rôle de pyromane qu’il a joué avec beaucoup de zèle et de cynisme lors des tragiques événements de 1989, qui avaient opposé les deux pays voisins et frères, que sont le Sénégal et la Mauritanie », lance l’Afp en guise de rappel sur les actes posés il y a quelques années par François Soudan.
« Aujourd’hui, prenant pour prétexte la chute et l’arrestation du président Alpha Condé, François Soudan distille son venin, en affirmant de manière diffamatoire que le Président Moustapha Niasse a bénéficié des largesses de l’ex Président de la République de Guinée. Il affirme, péremptoire, avec l’aplomb inhérent aux prétentieux, que ‘l’ingratitude est la fille du bienfait’. Pourtant, il pouvait dire également que le bienfait est géniteur de l’ingratitude », brocarde le parti de la mouvance présidentielle.
«Si le président Niasse avait besoin de largesses, ce qui est loin d’être le cas, grâce à Dieu, il ne se serait certainement pas adressé au Président Alpha Condé, en faisant fi de ses nombreux amis du Golfe et d’ailleurs, qu’il n’a, du reste, jamais sollicités », fait savoir l’Afp. Selon cette formation politique, dans cette histoire, s’il y a un chasseur de largesses, c’est bien le journaliste François Soudan. « Chassez le naturel, il revient au galop. François Soudan reste François Soudan, c’est-à-dire un éternel affamé, en rupture de ban avec la morale, incapable de se passer de largesses », brocarde l’Afp.
Amadou diop
« Aujourd’hui, prenant pour prétexte la chute et l’arrestation du président Alpha Condé, François Soudan distille son venin, en affirmant de manière diffamatoire que le Président Moustapha Niasse a bénéficié des largesses de l’ex Président de la République de Guinée. Il affirme, péremptoire, avec l’aplomb inhérent aux prétentieux, que ‘l’ingratitude est la fille du bienfait’. Pourtant, il pouvait dire également que le bienfait est géniteur de l’ingratitude », brocarde le parti de la mouvance présidentielle.
«Si le président Niasse avait besoin de largesses, ce qui est loin d’être le cas, grâce à Dieu, il ne se serait certainement pas adressé au Président Alpha Condé, en faisant fi de ses nombreux amis du Golfe et d’ailleurs, qu’il n’a, du reste, jamais sollicités », fait savoir l’Afp. Selon cette formation politique, dans cette histoire, s’il y a un chasseur de largesses, c’est bien le journaliste François Soudan. « Chassez le naturel, il revient au galop. François Soudan reste François Soudan, c’est-à-dire un éternel affamé, en rupture de ban avec la morale, incapable de se passer de largesses », brocarde l’Afp.
Amadou diop