Adji Sarr, qui accuse Ousmane Sonko de viol et menaces de morts, et Ndèye Khady Ndiaye, son ex-patronne à Sweet Beauty, le salon où se seraient déroulés les faits présumés, étaient hier, jeudi, dans le bureau du Doyen des juges, Oumar Maham Diallo.
Après avoir organisé la confrontation entre les deux dames, le magistrat a fait venir l’époux de Ndèye Khady Ndiaye, Ibrahima Coulibaly, pour une audition des trois.
D’après le journal Les Échos, la confrontation, démarrée peu après 11 heures du matin, a duré douze heures. Elle ne sera entrecoupée que par une pause de quelques dizaines de minutes, pour la coupure du jeûne, et... quelques incidents.
String et soutien-gorge
Les débats furent en effet par moments houleux, renseigne le même quotidien d'information. Lequel ajoute que les deux parties ont campé sur leurs positions. Adji Sarr maintenant ses accusations contre Ousmane Sonko et Ndèye Khady Ndiaye lavant le leader de Pastef.
«A chaque fois qu’Ousmane Sonko manifestait son désir de recevoir son massage ‘rapide’, il gardait son pantalon, mais le plus souvent, il exigeait son massage ‘complet’, rembobine Adji Sarr, reprise par L’Observateur qui, dans son édition de ce vendredi, a fait un compte-rendu détaillé de la confrontation dans le bureau du Doyen des juges. Dans ce dernier cas, il était tout nu, allongé sur le lit de la cabine. D’ailleurs, c’est ça la règle dans le salon : tous les hommes sont nus et nous, les masseuses, sommes en string et soutien-gorge.»
Revenant sur les circonstances des viols répétés présumés, toujours dans L’Obs, l’accusatrice de Sonko ajoute que pour un massage «complet», deux filles étaient mises à la disposition du leader de Pastef. Et, d'après toujours Adji Sarr, après un massage à quatre mains, Sonko faisait sortir l’autre fille pour abuser d’elle.
Ndèye Khady Ndiaye a démenti ces faits. Laissant entendre qu’Ousmane Sonko venait dans son salon juste pour soigner son dos. Interpellé par le Doyen des juges sur ses compétences en kinésithérapie, la patronne de Sweet Beauty admet n’avoir aucune formation en la matière. Mais, s'empresse-t-elle d'ajouter, elle a pu soigner les maux de dos du maire de Ziguinchor.
Accusations d’adultère
Dans tous les cas, Ndèye Khady Ndiaye affirme n’avoir jamais été informée de cas de viol dans son institut. Une déclaration qui a mis Adji Sarr dans tous ses états. La masseuse a martelé ses accusations et même accusé son ex-patronne d’adultère avec Ousmane Sonko, prenant comme témoins les autres masseuses de Sweet Beauty.
Adji Sarr ajoutera à l’endroit de Ndèye Khady Ndiaye : «Tu ne m’intéresses pas dans cette affaire. Je n’ai pas porté plainte contre toi. C’est Ousmane Sonko que j’attends pour une confrontation.»
Son avocat, Me El Hadji Diouf, essayera à son tour d’acculer la patronne de Sweet Beauty. La tension monte. Ndèye Khady Ndiaye s’emporte et traite ce dernier de violeur. Un violent incident d’audience survient, d’après L’Observateur.
Le même journal rapporte que les avocats de Ndèye Khady Ndiaye ont tenté à leur tour d’interpeller Adji Sarr par des questions. Mais cette dernière a refusé de leur répondre, réaffirmant son souhait d’être confrontée au plus vite à Ousmane Sonko.
Seneweb
Après avoir organisé la confrontation entre les deux dames, le magistrat a fait venir l’époux de Ndèye Khady Ndiaye, Ibrahima Coulibaly, pour une audition des trois.
D’après le journal Les Échos, la confrontation, démarrée peu après 11 heures du matin, a duré douze heures. Elle ne sera entrecoupée que par une pause de quelques dizaines de minutes, pour la coupure du jeûne, et... quelques incidents.
String et soutien-gorge
Les débats furent en effet par moments houleux, renseigne le même quotidien d'information. Lequel ajoute que les deux parties ont campé sur leurs positions. Adji Sarr maintenant ses accusations contre Ousmane Sonko et Ndèye Khady Ndiaye lavant le leader de Pastef.
«A chaque fois qu’Ousmane Sonko manifestait son désir de recevoir son massage ‘rapide’, il gardait son pantalon, mais le plus souvent, il exigeait son massage ‘complet’, rembobine Adji Sarr, reprise par L’Observateur qui, dans son édition de ce vendredi, a fait un compte-rendu détaillé de la confrontation dans le bureau du Doyen des juges. Dans ce dernier cas, il était tout nu, allongé sur le lit de la cabine. D’ailleurs, c’est ça la règle dans le salon : tous les hommes sont nus et nous, les masseuses, sommes en string et soutien-gorge.»
Revenant sur les circonstances des viols répétés présumés, toujours dans L’Obs, l’accusatrice de Sonko ajoute que pour un massage «complet», deux filles étaient mises à la disposition du leader de Pastef. Et, d'après toujours Adji Sarr, après un massage à quatre mains, Sonko faisait sortir l’autre fille pour abuser d’elle.
Ndèye Khady Ndiaye a démenti ces faits. Laissant entendre qu’Ousmane Sonko venait dans son salon juste pour soigner son dos. Interpellé par le Doyen des juges sur ses compétences en kinésithérapie, la patronne de Sweet Beauty admet n’avoir aucune formation en la matière. Mais, s'empresse-t-elle d'ajouter, elle a pu soigner les maux de dos du maire de Ziguinchor.
Accusations d’adultère
Dans tous les cas, Ndèye Khady Ndiaye affirme n’avoir jamais été informée de cas de viol dans son institut. Une déclaration qui a mis Adji Sarr dans tous ses états. La masseuse a martelé ses accusations et même accusé son ex-patronne d’adultère avec Ousmane Sonko, prenant comme témoins les autres masseuses de Sweet Beauty.
Adji Sarr ajoutera à l’endroit de Ndèye Khady Ndiaye : «Tu ne m’intéresses pas dans cette affaire. Je n’ai pas porté plainte contre toi. C’est Ousmane Sonko que j’attends pour une confrontation.»
Son avocat, Me El Hadji Diouf, essayera à son tour d’acculer la patronne de Sweet Beauty. La tension monte. Ndèye Khady Ndiaye s’emporte et traite ce dernier de violeur. Un violent incident d’audience survient, d’après L’Observateur.
Le même journal rapporte que les avocats de Ndèye Khady Ndiaye ont tenté à leur tour d’interpeller Adji Sarr par des questions. Mais cette dernière a refusé de leur répondre, réaffirmant son souhait d’être confrontée au plus vite à Ousmane Sonko.
Seneweb