L’avion était prévu pour se poser sur le sol sénégalais à 21h 50 mn mais l’atterrissage ne s’est effectué qu’à 23 heures après avoir accusé un retard d’une heure au décollage.
De 23 heures à 01 heure du matin, les passagers du vol HC 206 ont su prendre leur mal en patience avec, quelques fois, des rouspétances çà et là.
Qu’est-ce qui explique que des bagages qui ont suivi tout le processus sécuritaire aéroportuaire et que les propriétaires ont reçu leurs cartes d’embarquement, sont laissés à l’aéroport international de Nouakchott Oumtounsy?
Les passagers se sont finalement rendus, après une longue attente, au service bagages où, une demoiselle se lance dans une tentative de réponse: « En fait, les bagages pour le vol en provenance de Nouakchott ne sont pas venus ».
Personne ne pouvait décrire l’AIR de déception qui a affecté les passagers quand ils ont reçu une telle information.
« Pourquoi? », interroge une voix curieuse dans la foule. Et la demoiselle se lance encore: « il y avait un problème de chargement ». « Comment ça? » La demoiselle a laissé le silence réponse à cette question.
Qu’est-ce qui explique, réellement, que les bagages que le personnel-sol a mis dans la soute de l’avion ne sont pas ceux des passagers qui devaient embarquer?
Pourquoi arriver jusqu’à destination pour dire aux passagers que leurs bagages ne sont pas venus?
Ont-ils pris en compte, avant de laisser les bagages à Nouakchott, les passagers qui étaient en transit sur Dakar et qui devaient continuer leur voyage la même nuit?
En tout cas, les ouïe-dires ont fait savoir que les bagages arrivés hier avec un nouvel embarquement sont ceux des passagers de la veille. En tout état de cause, à vol d'oiseau la compagnie Air Sénégal SA qui ambitionne d'être le leader du transport aérien en Afrique de l'ouest en s'appuyant sur un hub régional , continue lentement mais surement sa descente aux abîmes . Et cela poussent déja des langues à se délier et s’interroger sur les capacités réelles d’Air Sénégal avec ses retards récurrents et bagages laissés à quai. Beaucoup de passagers interrogés sur le vol du samedi de Air Sénégal SA martèlent que c’est la dernière fois qu’ils prendront Air Sénégal.
Le mal est loin de connaître son épilogue: les passagers doivent encore, en plus de la journée qu’ils vont perdre pour récupérer leurs bagages, courir derrière le service bagages, dépenser du crédit pour les appels, de l’énergie pour se rendre à Dias et de l’argent pour le transport.
C’est cela, un ESPRIT de « négligence »!
Bassirou MBAYE
lejecos
De 23 heures à 01 heure du matin, les passagers du vol HC 206 ont su prendre leur mal en patience avec, quelques fois, des rouspétances çà et là.
Qu’est-ce qui explique que des bagages qui ont suivi tout le processus sécuritaire aéroportuaire et que les propriétaires ont reçu leurs cartes d’embarquement, sont laissés à l’aéroport international de Nouakchott Oumtounsy?
Les passagers se sont finalement rendus, après une longue attente, au service bagages où, une demoiselle se lance dans une tentative de réponse: « En fait, les bagages pour le vol en provenance de Nouakchott ne sont pas venus ».
Personne ne pouvait décrire l’AIR de déception qui a affecté les passagers quand ils ont reçu une telle information.
« Pourquoi? », interroge une voix curieuse dans la foule. Et la demoiselle se lance encore: « il y avait un problème de chargement ». « Comment ça? » La demoiselle a laissé le silence réponse à cette question.
Qu’est-ce qui explique, réellement, que les bagages que le personnel-sol a mis dans la soute de l’avion ne sont pas ceux des passagers qui devaient embarquer?
Pourquoi arriver jusqu’à destination pour dire aux passagers que leurs bagages ne sont pas venus?
Ont-ils pris en compte, avant de laisser les bagages à Nouakchott, les passagers qui étaient en transit sur Dakar et qui devaient continuer leur voyage la même nuit?
En tout cas, les ouïe-dires ont fait savoir que les bagages arrivés hier avec un nouvel embarquement sont ceux des passagers de la veille. En tout état de cause, à vol d'oiseau la compagnie Air Sénégal SA qui ambitionne d'être le leader du transport aérien en Afrique de l'ouest en s'appuyant sur un hub régional , continue lentement mais surement sa descente aux abîmes . Et cela poussent déja des langues à se délier et s’interroger sur les capacités réelles d’Air Sénégal avec ses retards récurrents et bagages laissés à quai. Beaucoup de passagers interrogés sur le vol du samedi de Air Sénégal SA martèlent que c’est la dernière fois qu’ils prendront Air Sénégal.
Le mal est loin de connaître son épilogue: les passagers doivent encore, en plus de la journée qu’ils vont perdre pour récupérer leurs bagages, courir derrière le service bagages, dépenser du crédit pour les appels, de l’énergie pour se rendre à Dias et de l’argent pour le transport.
C’est cela, un ESPRIT de « négligence »!
Bassirou MBAYE
lejecos