«Selon les motivations de ce communiqué, notre client a été arrêté pour avoir « volé avec violence le téléphone portable d’une gendarme ». Sortant, rappelons-le, d'un placement sous résidence surveillée, en dehors de tout cadre judiciaire, le président Ousmane Sonko ne se sent nullement concerné par ce prétexte procédural grotesque », lit-on dans le document. Selon la défense, ces nouvelles accusations, dépourvues de fondement, seraient risibles si elles n'avaient pas de si lourdes implications. «Le devenir de M. Ousmane Sonko, personnalité politique de premier plan, engage celui du pays.
La multiplication de procédures fantasques à son encontre constitue une instrumentalisation inacceptable de l'appareil judiciaire », a ajouté le Collectif des avocats de Sonko. Il a indiqué que les dispositions pertinentes de l’article 341 du Code de procédure pénale prévoient que la peine et le jugement de contumace sont anéantis dès l’arrestation du contumax.
«Nous nous tenons auprès de notre client pour nous assurer de l'absence d'instrumentalisation de la présente procédure, et de son immédiate libération », a confié le collectif.
Amadou DIOP
La multiplication de procédures fantasques à son encontre constitue une instrumentalisation inacceptable de l'appareil judiciaire », a ajouté le Collectif des avocats de Sonko. Il a indiqué que les dispositions pertinentes de l’article 341 du Code de procédure pénale prévoient que la peine et le jugement de contumace sont anéantis dès l’arrestation du contumax.
«Nous nous tenons auprès de notre client pour nous assurer de l'absence d'instrumentalisation de la présente procédure, et de son immédiate libération », a confié le collectif.
Amadou DIOP