Invité ce dimanche du magasine Itech sur Iradio, le Directeur juridique de l’Artp, Kalidou Gaye ne s’est pas fait plus précis. Il reprend même les termes de son boss en parlant d’imminence qui s’est traduite par la phase expérimentale. « Retenez que le moment venu, le directeur général et les autorités étatiques de façon générale reviendront sur un planning de déploiement. Mais sachez que les préparatifs sont en cours et les opérateurs sont déjà informés », déclare-t-il.
Kalidou Gaye reconnait pourtant que la 5G est déjà présente dans le monde. Mais il estime que chaque pays a ses réalités, son niveau de maturité. « Pas plus tard que l’année dernière, il n’y avait que deux opérateurs qui avait la 4G. Maintenant tous les trois l’ont. Les technologies obéissent à une certaine maturité, maturité du marché, maturité des besoins des consommateurs », ajoute-t-il.
Actuellement, le monde est à l’ère de l’internet des objets, de l’intelligence artificielle, de la télémédecine, du télétravail, de l’enseignement à distance… Certes, reconnait Gaye, mais il ne faut pas tomber dans le mimétisme, pense-t-il.
« Chaque pays aussi, c’est en fonction des son niveau de développement, de ses priorités que les technologies évoluent. Aujourd’hui, vous avez des localités où la 3G n’est pas présente, parler de la 5G pour ses localités, ils vont penser que c’est prématuré. Notre directeur général disait, lors de ses tournées dans les campagnes, qu’on parle de la 4G alors qu’il y a des villages où il y a zéro G. Il y a des villages où les gens n’ont même pas accès au réseau », admet-il.
Autrement dit, il faut y aller de façon graduelle. Il y a beaucoup d’acteurs concernés par la 5G qu’il faut consultés, impliqués. « Les tests sont en cours, s’ils sont concluants, les autorités vont attribuer les fréquences », rassure-t-il.
Seneweb
Kalidou Gaye reconnait pourtant que la 5G est déjà présente dans le monde. Mais il estime que chaque pays a ses réalités, son niveau de maturité. « Pas plus tard que l’année dernière, il n’y avait que deux opérateurs qui avait la 4G. Maintenant tous les trois l’ont. Les technologies obéissent à une certaine maturité, maturité du marché, maturité des besoins des consommateurs », ajoute-t-il.
Actuellement, le monde est à l’ère de l’internet des objets, de l’intelligence artificielle, de la télémédecine, du télétravail, de l’enseignement à distance… Certes, reconnait Gaye, mais il ne faut pas tomber dans le mimétisme, pense-t-il.
« Chaque pays aussi, c’est en fonction des son niveau de développement, de ses priorités que les technologies évoluent. Aujourd’hui, vous avez des localités où la 3G n’est pas présente, parler de la 5G pour ses localités, ils vont penser que c’est prématuré. Notre directeur général disait, lors de ses tournées dans les campagnes, qu’on parle de la 4G alors qu’il y a des villages où il y a zéro G. Il y a des villages où les gens n’ont même pas accès au réseau », admet-il.
Autrement dit, il faut y aller de façon graduelle. Il y a beaucoup d’acteurs concernés par la 5G qu’il faut consultés, impliqués. « Les tests sont en cours, s’ils sont concluants, les autorités vont attribuer les fréquences », rassure-t-il.
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