«Avec l’élection présidentielle de 2024, nous devrons mobiliser toutes les compétences nationales, y compris celles de la diaspora, pour changer par les urnes la gouvernance actuelle et pour rebâtir notre beau pays afin qu’il retrouve dans l’histoire la place dont on l’a privé », a lancé M. Wade.
«Si nous ne le faisions pas, nous porterions une lourde responsabilité envers le Sénégal, mais aussi l’Afrique, pour avoir été incapables d’assurer aux nouvelles générations l’avenir auquel elles ont droit. Pour ma part, je vous accompagnerai, comme toujours, dans les changements qui correspondent aux aspirations profondes des sénégalais, dans la concertation, la clairvoyance et la lucidité que requiert la situation », a indiqué le responsable du Pds.
Il a demandé aux Sénégalais de ne pas oublier que cette crise est aussi politique : les libertés, la démocratie, l’État de droit sont aujourd’hui délaissés dans notre pays. Nous devrons à son avis, les restaurer avec acharnement. Sur un autre point, Karim Wade a indiqué que l’année qui s’achève a encore été difficile. «Vous avez durement subi dans votre vie quotidienne tous les effets de la crise qui frappe de plein fouet notre pays : faibles niveaux des revenus, baisse du pouvoir d’achat, augmentation vertigineuse du prix des produits de première nécessité, explosion du chômage qui frappe durement notre jeunesse, niveau alarmant d’endettement, multiplication des scandales financiers dont les derniers ont été révélés par la Cour des comptes, tout cela dans une atmosphère politique marquée par la violence, par des invectives et des insultes qui minent la cohésion nationale », a confié le fils de l’ancien chef de l’Etat.
Amadou DIOP
«Si nous ne le faisions pas, nous porterions une lourde responsabilité envers le Sénégal, mais aussi l’Afrique, pour avoir été incapables d’assurer aux nouvelles générations l’avenir auquel elles ont droit. Pour ma part, je vous accompagnerai, comme toujours, dans les changements qui correspondent aux aspirations profondes des sénégalais, dans la concertation, la clairvoyance et la lucidité que requiert la situation », a indiqué le responsable du Pds.
Il a demandé aux Sénégalais de ne pas oublier que cette crise est aussi politique : les libertés, la démocratie, l’État de droit sont aujourd’hui délaissés dans notre pays. Nous devrons à son avis, les restaurer avec acharnement. Sur un autre point, Karim Wade a indiqué que l’année qui s’achève a encore été difficile. «Vous avez durement subi dans votre vie quotidienne tous les effets de la crise qui frappe de plein fouet notre pays : faibles niveaux des revenus, baisse du pouvoir d’achat, augmentation vertigineuse du prix des produits de première nécessité, explosion du chômage qui frappe durement notre jeunesse, niveau alarmant d’endettement, multiplication des scandales financiers dont les derniers ont été révélés par la Cour des comptes, tout cela dans une atmosphère politique marquée par la violence, par des invectives et des insultes qui minent la cohésion nationale », a confié le fils de l’ancien chef de l’Etat.
Amadou DIOP