«Notre pays ne peut pas continuer de piétiner sa signature au niveau sous-régional, régional et international. La remise en cause de la décision de la Cedeao s'inscrit dans ce cadre », a dénoncé Abdoul Mbaye qui lisait la déclaration liminaire. Il a souligné qu’un délai de six mois à compter de la date de notification a été signifié à l'Etat pour le retrait du système de parrainage.
La coalition demande par ailleurs, le prolongement des inscriptions sur les listes électorales. «Pour la seconde fois, l'Etat ouvre la révision du fichier pour des délais limites dans le temps et géographiquement. Le fichier n'est pas vidé de ses irrégularités, de fraudes, l'existence de données biométriques frauduleuses, le refus de mettre à disposition le fichier avant les élections, des périodes très courtes.
L'exemple des fraudes massives dans la ville de Pikine démontrent à suffisance un manque de transparence pendant les élections locales », a fait savoir cette coalition de l’opposition. C’est pourquoi, elle doute que les élections législatives puissent se tenir dans des conditions optimales. « Wallu » soutient que les conditions ne sont pas réunis pour garantir des élections législatives ouvertes et transparentes au mois de juillet prochain et menacent la stabilité du Sénégal.
Amadou DIOP
La coalition demande par ailleurs, le prolongement des inscriptions sur les listes électorales. «Pour la seconde fois, l'Etat ouvre la révision du fichier pour des délais limites dans le temps et géographiquement. Le fichier n'est pas vidé de ses irrégularités, de fraudes, l'existence de données biométriques frauduleuses, le refus de mettre à disposition le fichier avant les élections, des périodes très courtes.
L'exemple des fraudes massives dans la ville de Pikine démontrent à suffisance un manque de transparence pendant les élections locales », a fait savoir cette coalition de l’opposition. C’est pourquoi, elle doute que les élections législatives puissent se tenir dans des conditions optimales. « Wallu » soutient que les conditions ne sont pas réunis pour garantir des élections législatives ouvertes et transparentes au mois de juillet prochain et menacent la stabilité du Sénégal.
Amadou DIOP