Selon Rewmi Quotidien, les limiers, qui ont effectué une descente inopinée dans ledit quartier, auraient découvert 10 cornets de chanvre indien.
Poursuivi pour offre ou cession de drogue, le jeune homme de 26 ans a été attrait, hier, devant le tribunal des flagrants délits de Dakar.
Niant catégoriquement son statut de dealer, il allègue, sans coup férir, qu'il est victime d'un règlement de comptes.
"Ils n'ont rien trouvé par devers moi. Je me suis disputé avec l'un des limiers qui m'a insulté. Pour se venger, ils m'ont embarqué dans leur fourgonnette. Arrivés à hauteur de la mosquée Massalikoul Djinane, ils m’ont réclamé 300 000 Fcfa", confie M. Keïta qui révèle qu'il a arrêté de consommer le produit nocif depuis deux mois.
Des déclarations corroborées par sa mère, M. Coulibaly, qui a témoigné en faveur de son fils.
"Il a tourné le dos à la drogue, il y a de cela deux mois. Après m'avoir informé de son arrestation, le policier qui était au bout du fil m'a réclamé 300 000 Fcfa pour sa libération. Quelques heures après, il me contacte à nouveau et me demande 150 000, puis 100 000", affirme la pauvre dame.
Le représentant du Ministère public a requis l'application de la loi.
Selon Me Domingo Dieng, le prévenu, qui a été redressé à temps, a failli verser dans la délinquance.
"On l'a pris avec d'autres personnes. Ils ont été conduits derrière Massalikoul Djinane. C'est là-bas que les choses ont démarré. Ils commencent à racketter les gens. Vous payez, ils vous laissent partir. Ce qu'ils font est illégal. Ces méthodes ne nous honorent pas", s'indigne la robe noire qui a sollicité la relaxe de son client.
Le président du tribunal, qui a disqualifié les faits d'offre ou de cession en détention et usage de drogue, a délivré un séjour carcéral de six mois ferme au prévenu.
Seneweb
Poursuivi pour offre ou cession de drogue, le jeune homme de 26 ans a été attrait, hier, devant le tribunal des flagrants délits de Dakar.
Niant catégoriquement son statut de dealer, il allègue, sans coup férir, qu'il est victime d'un règlement de comptes.
"Ils n'ont rien trouvé par devers moi. Je me suis disputé avec l'un des limiers qui m'a insulté. Pour se venger, ils m'ont embarqué dans leur fourgonnette. Arrivés à hauteur de la mosquée Massalikoul Djinane, ils m’ont réclamé 300 000 Fcfa", confie M. Keïta qui révèle qu'il a arrêté de consommer le produit nocif depuis deux mois.
Des déclarations corroborées par sa mère, M. Coulibaly, qui a témoigné en faveur de son fils.
"Il a tourné le dos à la drogue, il y a de cela deux mois. Après m'avoir informé de son arrestation, le policier qui était au bout du fil m'a réclamé 300 000 Fcfa pour sa libération. Quelques heures après, il me contacte à nouveau et me demande 150 000, puis 100 000", affirme la pauvre dame.
Le représentant du Ministère public a requis l'application de la loi.
Selon Me Domingo Dieng, le prévenu, qui a été redressé à temps, a failli verser dans la délinquance.
"On l'a pris avec d'autres personnes. Ils ont été conduits derrière Massalikoul Djinane. C'est là-bas que les choses ont démarré. Ils commencent à racketter les gens. Vous payez, ils vous laissent partir. Ce qu'ils font est illégal. Ces méthodes ne nous honorent pas", s'indigne la robe noire qui a sollicité la relaxe de son client.
Le président du tribunal, qui a disqualifié les faits d'offre ou de cession en détention et usage de drogue, a délivré un séjour carcéral de six mois ferme au prévenu.
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