« Après avoir constaté de visu l’ampleur des dégâts, nous pouvons dire sans nous tromper qu’il s’agit d’une catastrophe, sans doute la plus grande de l’histoire de Walfadjri. Hier, le préjudice était estimé à quelques dizaines de millions, car nous pensions que seul le studio avait été impacté.
Mais aujourd’hui, nous pouvons l’estimer, sans erreur, à plusieurs centaines de millions. En effet, non seulement le studio a pris feu, mais également la salle Régis et la salle serveur ; tout l’investissement est touché. Il s’agit vraiment du poumon de Walfadjri qui a été atteint. C’est un coup dur pour le groupe Walfadjri.
La seule consolation est que nous ne déplorons aucune perte de vie humaine ni de blessé ; tout le préjudice est donc purement matériel », a indiqué M. Niass. Selon lui, ce préjudice est énorme, surpassant toutes les coupures de signal que Walfadjri a pu connaître par le passé.
«Le ministre disait hier qu’il y avait eu « plus de peur que de mal ». Je dirais, au contraire, qu’il y a eu « plus de mal que de peur », du moins sur le plan matériel. Hier, sans éclairage, nous ne pouvions pas voir l’ampleur réelle des dégâts. Mais aujourd’hui, vous avez tous pu constater que les dégâts sont énormes. Il faudra également un investissement considérable pour rétablir les plateaux et mettre aux normes le bâtiment. Cela représente plusieurs centaines de millions alors que, comme vous le savez, la presse traverse des moments très difficiles.
Nous éprouvons vraiment des difficultés à subvenir à nos besoins essentiels. Ainsi, cet incendie rend la situation extrêmement difficile à surmonter sans l’aide de l’État et de la population. Mais nous avons bon espoir de rebondir face à cette situation », a indiqué le Pdg de Walfadjri.
Adou FAYE
Mais aujourd’hui, nous pouvons l’estimer, sans erreur, à plusieurs centaines de millions. En effet, non seulement le studio a pris feu, mais également la salle Régis et la salle serveur ; tout l’investissement est touché. Il s’agit vraiment du poumon de Walfadjri qui a été atteint. C’est un coup dur pour le groupe Walfadjri.
La seule consolation est que nous ne déplorons aucune perte de vie humaine ni de blessé ; tout le préjudice est donc purement matériel », a indiqué M. Niass. Selon lui, ce préjudice est énorme, surpassant toutes les coupures de signal que Walfadjri a pu connaître par le passé.
«Le ministre disait hier qu’il y avait eu « plus de peur que de mal ». Je dirais, au contraire, qu’il y a eu « plus de mal que de peur », du moins sur le plan matériel. Hier, sans éclairage, nous ne pouvions pas voir l’ampleur réelle des dégâts. Mais aujourd’hui, vous avez tous pu constater que les dégâts sont énormes. Il faudra également un investissement considérable pour rétablir les plateaux et mettre aux normes le bâtiment. Cela représente plusieurs centaines de millions alors que, comme vous le savez, la presse traverse des moments très difficiles.
Nous éprouvons vraiment des difficultés à subvenir à nos besoins essentiels. Ainsi, cet incendie rend la situation extrêmement difficile à surmonter sans l’aide de l’État et de la population. Mais nous avons bon espoir de rebondir face à cette situation », a indiqué le Pdg de Walfadjri.
Adou FAYE