Le hic, constate le confrère, est que l’Agriculture reste le parent pauvre du crédit bancaire. « Si on va au-delà du volume des crédits bancaires (5727,2 milliards, en 2021) pour s’intéresser à leur répartition, on note effectivement que le secteur de l’agriculture n’a pas obtenu les crédits escomptés à hauteur des ambitions politiques du gouvernement d’asseoir une souveraineté alimentaire au Sénégal, notamment par l’injection de financements massifs dans ce secteur ».
L’avenir passe peut-être par les nouvelles banques, celles pouvant tenir dans un telephone. Lire l’entretien de M. Abdel Mumin Zampalegre, Directeur général de la BOA Sénégal.
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