Vigilance…
D’après l’avocat, repris par Seneweb, “les djihadistes ont leur candidat. Tout le monde connaît au Sénégal son candidat. Seulement, personne n’ose en parler. Vous le connaissez. J’allais même dire qu’il s’agit d’un faux djihadiste parce que les vrais ne fréquentent pas les salons de beauté et ne se font pas masser par des jeunes filles… On a vu des gens indexés comme djihadistes soutenir ce candidat. On a vu l’imam Alioune Ndao et Aliou Sall, imam Mbaye Niang et autres derrière ce candidat. Il faut qu’on soit vigilants et se demander pourquoi tous ces barbus sont derrière cet homme“.
La première vague, un “échauffement”…
Il poursuit : “Les politiques ont pris en otage tout un peuple. Ils ont brûlé le pays et sont en train de s’entraîner. La première vague était l’échauffement et ils nous ont promis une deuxième vague plus dévastatrice… Vous avez vu quelqu’un dont l’audience a été renvoyée vers le tribunal… Il faut que l’Etat soit ferme et aucune faiblesse de sa part ne sera tolérée.”
Les djihadistes, “chez nous”…
Il donne ainsi l’exemple du Mali qui, regrette-t-il, “est infesté de djihadistes de tous bords“. Mais aussi de la Guinée qui, rappelle l’avocat, “passe des moments assez tumultueux“.
“Les djihadistes sont entrés chez nous, heureusement que jusque-là, l’État arrive à contenir leurs velléités par ses services de renseignements et de sécurité. Ces derniers se mobilisent et barrent la route à ces djihadistes établis au sud du Sahel depuis la disparition de Khadafi. Ils cherchent à affaiblir tous nos pays par des moyens différents, selon les contextes. Par exemple, au Sénégal, des gens ont été arrêtés, certains ont été condamnés, d’autres relaxés“, souligne Me El Hadji Diouf.
Senego
D’après l’avocat, repris par Seneweb, “les djihadistes ont leur candidat. Tout le monde connaît au Sénégal son candidat. Seulement, personne n’ose en parler. Vous le connaissez. J’allais même dire qu’il s’agit d’un faux djihadiste parce que les vrais ne fréquentent pas les salons de beauté et ne se font pas masser par des jeunes filles… On a vu des gens indexés comme djihadistes soutenir ce candidat. On a vu l’imam Alioune Ndao et Aliou Sall, imam Mbaye Niang et autres derrière ce candidat. Il faut qu’on soit vigilants et se demander pourquoi tous ces barbus sont derrière cet homme“.
La première vague, un “échauffement”…
Il poursuit : “Les politiques ont pris en otage tout un peuple. Ils ont brûlé le pays et sont en train de s’entraîner. La première vague était l’échauffement et ils nous ont promis une deuxième vague plus dévastatrice… Vous avez vu quelqu’un dont l’audience a été renvoyée vers le tribunal… Il faut que l’Etat soit ferme et aucune faiblesse de sa part ne sera tolérée.”
Les djihadistes, “chez nous”…
Il donne ainsi l’exemple du Mali qui, regrette-t-il, “est infesté de djihadistes de tous bords“. Mais aussi de la Guinée qui, rappelle l’avocat, “passe des moments assez tumultueux“.
“Les djihadistes sont entrés chez nous, heureusement que jusque-là, l’État arrive à contenir leurs velléités par ses services de renseignements et de sécurité. Ces derniers se mobilisent et barrent la route à ces djihadistes établis au sud du Sahel depuis la disparition de Khadafi. Ils cherchent à affaiblir tous nos pays par des moyens différents, selon les contextes. Par exemple, au Sénégal, des gens ont été arrêtés, certains ont été condamnés, d’autres relaxés“, souligne Me El Hadji Diouf.
Senego