Lors de l’audience, le représentant du Parquet a écarté les faits de légitime défense. Il souligne que les assaillants blessés lors de ces échauffourées étaient en position de fuite, d'où le fait que le défunt Ndiaga Diouf a été atteint par balles en position postérieur.
Pour sa part, la partie civile confirme que l'arme qui a tué Ndiaga Diouf ne pouvait être que celle que détenait Barthélemy Dias. Elle demande une somme de 150 millions F Cfa, en guise de dommages et intérêts.
Dans leurs plaidoiries, les avocats de la défense ont demandé au tribunal d'acquitter leur client. «Une vérité policière n'est pas une vérité judiciaire. Et que les balles qui ont tué Ndiaga Diouf ne proviennent pas de l'arme que détenait Barthélemy Dias », ont expliqué les avocats de la défense.
En première instance, Barthélemy Dias avait été condamné, en février 2017, à 2 ans de prison dont 6 mois ferme. Il avait interjeté appel.
Pour sa part, la partie civile confirme que l'arme qui a tué Ndiaga Diouf ne pouvait être que celle que détenait Barthélemy Dias. Elle demande une somme de 150 millions F Cfa, en guise de dommages et intérêts.
Dans leurs plaidoiries, les avocats de la défense ont demandé au tribunal d'acquitter leur client. «Une vérité policière n'est pas une vérité judiciaire. Et que les balles qui ont tué Ndiaga Diouf ne proviennent pas de l'arme que détenait Barthélemy Dias », ont expliqué les avocats de la défense.
En première instance, Barthélemy Dias avait été condamné, en février 2017, à 2 ans de prison dont 6 mois ferme. Il avait interjeté appel.
Amadou Diop