« Quand on annonce un montant aussi mirobolant soit-il, il faut l’arrimer à l’offre, à la population concernée et à la réalité du pays. Par rapport à ce qui est demandé depuis 2018, les 69 milliards de FCfa annoncés par le Gouvernement sont largement insignifiants et il fallait objectivement aller dans le sens d’une amélioration », a déclaré le syndicaliste.
Il a souligné que les propositions de l’Etat n’ont pas pris en compte l’ensemble des aspects financiers concernant les indemnités des enseignants. Hamidou Diédhiou d’expliquer qu’il fallait agir sur les indemnités de logement, d’enseignement, de résidence ainsi que sur celles liées aux classes spéciales, au contrôle et à l’encadrement pédagogique, notamment pour les inspecteurs de l’éducation. Il affirme que les revendications et propositions des enseignants sont soutenables et doivent amener le Gouvernement à s’ajuster très vite. C’est pourquoi, les syndicats du G7 annoncent un 9ème plan d’actions à compter de ce 15 février.
« Nous avons décidé de poursuivre la grève, car il n’y a pas encore eu de propositions concrètes émanant de l’Etat », a fait savoir le syndicaliste. Depuis quelques mois, les enseignants exigent la fin des lenteurs administratives, la correction du système de rémunération, le respect du protocole d’accord du 30 avril 2018."
lejecos
Il a souligné que les propositions de l’Etat n’ont pas pris en compte l’ensemble des aspects financiers concernant les indemnités des enseignants. Hamidou Diédhiou d’expliquer qu’il fallait agir sur les indemnités de logement, d’enseignement, de résidence ainsi que sur celles liées aux classes spéciales, au contrôle et à l’encadrement pédagogique, notamment pour les inspecteurs de l’éducation. Il affirme que les revendications et propositions des enseignants sont soutenables et doivent amener le Gouvernement à s’ajuster très vite. C’est pourquoi, les syndicats du G7 annoncent un 9ème plan d’actions à compter de ce 15 février.
« Nous avons décidé de poursuivre la grève, car il n’y a pas encore eu de propositions concrètes émanant de l’Etat », a fait savoir le syndicaliste. Depuis quelques mois, les enseignants exigent la fin des lenteurs administratives, la correction du système de rémunération, le respect du protocole d’accord du 30 avril 2018."
lejecos