«Je vis de manière stoïque l’abominable épreuve qu’on m’inflige pour un dessein non encore avoué.
Mais, je tiens à vous informer, à prendre l’opinion publique nationale et internationale à témoin, que face à ces auteurs de mon emprisonnement injuste et arbitraire, je préfère mourir dignement dans la prison de Rebeuss que dans un hôpital », écrit le journaliste en prison depuis novembre 2022 après quatre jours de liberté provisoire en décembre dernier.
«Un célèbre penseur disait qu’il ne faut pas avoir peur de la mort, mais du néant. Ma vie n’a pas été un néant. Dans l’exercice du métier que j’ai choisi, j’ai, toujours et de manière permanente, posé des actes pour défendre objectivement et exclusivement le peuple Sénégalais.
Je sollicite les prières des Sénégalais et confie ma vie au bon Dieu, l’Unique et véritable Juge. Que Dieu veille sur le Sénégal », a ajouté le journaliste. Le procureur a refusé de lui accorder la liberté provisoire.
Amadou Diop
Mais, je tiens à vous informer, à prendre l’opinion publique nationale et internationale à témoin, que face à ces auteurs de mon emprisonnement injuste et arbitraire, je préfère mourir dignement dans la prison de Rebeuss que dans un hôpital », écrit le journaliste en prison depuis novembre 2022 après quatre jours de liberté provisoire en décembre dernier.
«Un célèbre penseur disait qu’il ne faut pas avoir peur de la mort, mais du néant. Ma vie n’a pas été un néant. Dans l’exercice du métier que j’ai choisi, j’ai, toujours et de manière permanente, posé des actes pour défendre objectivement et exclusivement le peuple Sénégalais.
Je sollicite les prières des Sénégalais et confie ma vie au bon Dieu, l’Unique et véritable Juge. Que Dieu veille sur le Sénégal », a ajouté le journaliste. Le procureur a refusé de lui accorder la liberté provisoire.
Amadou Diop