Selon un communiqué de presse, la rencontre s'est prononcée sur la démission annoncée le dimanche 20 mars, tard dans la soirée, par son président, Mamadou Ibra Kane, par ailleurs directeur de publication des quotidiens «Stades » & «Sunulamb ». À l'unanimité des membres présents, ajoute la même source, la démission du président Mamadou Ibra Kane a été rejetée pour plusieurs raisons.
«D'abord, l'affaire opposant Mamadou Ibra Kane à un de ses ex-employés est encore pendante devant la justice », explique les membres du Cdeps. Aucune condamnation définitive n'étant encore prononcée, l'assemblée estime que le président du Cdeps a toute la légitimité pour continuer à exercer sa fonction, bénéficiant encore et toujours de la confiance de ses pairs. Dans la même dynamique, l'assemblée estime que le président du Cdeps est en train d'abattre un excellent travail au niveau de l'organisation, dans une étape décisive pour le patronat de presse qui fait face à des dossiers urgents et très sensibles, entre autres : les mutations de l'aide à la presse avec le nouveau Fonds d'appui et de développement de la presse (Fadp) mis en place en 2021; le processus d'élaboration du Code de la publicité qui est en phase de finalisation ; le soutien du Cdeps au groupe Excaf Telecom qui est au cœur d'une opération sournoise de démantèlement.
La presse sénégalaise, étant à la croisée des chemins et dans une crise structurelle profonde et assez critique, le Cdeps, à travers son président, s'est engagée dans des perspectives porteuses de solutions durables pour faire face aux enjeux de l'heure. Pour toutes ces raisons, l'assemblée du Cdeps a renouvelé son soutien indéfectible à son président Mamadou Ibra Kane dans l'épreuve qu'il traverse. «D'ailleurs, le Cdeps va commettre un pool d'avocats pour assurer sa défense devant les tribunaux sénégalais.
Aucun effort ne sera ménagé par ses membres pour faire annuler cette condamnation actée sur la base d'un enregistrement frauduleux d'un ex-employé. Cette résolution sera publiée et communiquée partout où besoin sera », fait savoir le Cdeps.
Amadou Diop
«D'abord, l'affaire opposant Mamadou Ibra Kane à un de ses ex-employés est encore pendante devant la justice », explique les membres du Cdeps. Aucune condamnation définitive n'étant encore prononcée, l'assemblée estime que le président du Cdeps a toute la légitimité pour continuer à exercer sa fonction, bénéficiant encore et toujours de la confiance de ses pairs. Dans la même dynamique, l'assemblée estime que le président du Cdeps est en train d'abattre un excellent travail au niveau de l'organisation, dans une étape décisive pour le patronat de presse qui fait face à des dossiers urgents et très sensibles, entre autres : les mutations de l'aide à la presse avec le nouveau Fonds d'appui et de développement de la presse (Fadp) mis en place en 2021; le processus d'élaboration du Code de la publicité qui est en phase de finalisation ; le soutien du Cdeps au groupe Excaf Telecom qui est au cœur d'une opération sournoise de démantèlement.
La presse sénégalaise, étant à la croisée des chemins et dans une crise structurelle profonde et assez critique, le Cdeps, à travers son président, s'est engagée dans des perspectives porteuses de solutions durables pour faire face aux enjeux de l'heure. Pour toutes ces raisons, l'assemblée du Cdeps a renouvelé son soutien indéfectible à son président Mamadou Ibra Kane dans l'épreuve qu'il traverse. «D'ailleurs, le Cdeps va commettre un pool d'avocats pour assurer sa défense devant les tribunaux sénégalais.
Aucun effort ne sera ménagé par ses membres pour faire annuler cette condamnation actée sur la base d'un enregistrement frauduleux d'un ex-employé. Cette résolution sera publiée et communiquée partout où besoin sera », fait savoir le Cdeps.
Amadou Diop