Selon la même source, les délégués de la Cap et du Collectif qui ont rendu visite au confrère ont salué sa sérénité. Il fait preuve de résilience devant cette terrible épreuve qui lui a été infligée par des gens qui utilisent les moyens de l’Etat à leurs propres fins. Pape Alé Niang a remercié les gardes pénitentiaires pour leur bonne conduite à son égard. Il se dit bien traité et ne se plaint de rien, mise à part l’injustice flagrante qui le maintient en prison. Il a remercié les consœurs, confrères, techniciens et acteurs des médias qui se mobilisent depuis le 6 novembre comme un seul homme pour sa libération.
«Les membres de la Cap et du Collectif ont pu obtenir de leur «envoyé bien spécial» à Sébikhotane, la décision de surseoir pour le moment à sa volonté d’observer une grève de la faim. Ces entités se disent très préoccupées par sa situation et font tout pour le sortir de prison le plus rapidement possible », lit-on dans le document.
A cet effet, précise-t-on, si le deuxième plan d’actions n’a pas été mis en branle en plein régime comme cela a été le cas pour le premier, c’est parce que des ainé (e) s ont demandé à la Cap de mettre la pédale douce afin de faciliter leur entreprise de médiation. Les organisations professionnelles des médias disent respecter cette dynamique de décrispation et espèrent que les autorités comprendront que l’intérêt supérieur et l’image de marque de notre cher pays priment sur tout. Elles disent attendre beaucoup de la rencontre du jeudi dernier avec le ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Économie numérique et espèrent prendre langue rapidement avec les ministres de la Justice et des Forces armées afin que les avocats puissent déposer, dans les plus brefs délais, une demande de mise en liberté provisoire pour notre confrère.
Amadou Diop
«Les membres de la Cap et du Collectif ont pu obtenir de leur «envoyé bien spécial» à Sébikhotane, la décision de surseoir pour le moment à sa volonté d’observer une grève de la faim. Ces entités se disent très préoccupées par sa situation et font tout pour le sortir de prison le plus rapidement possible », lit-on dans le document.
A cet effet, précise-t-on, si le deuxième plan d’actions n’a pas été mis en branle en plein régime comme cela a été le cas pour le premier, c’est parce que des ainé (e) s ont demandé à la Cap de mettre la pédale douce afin de faciliter leur entreprise de médiation. Les organisations professionnelles des médias disent respecter cette dynamique de décrispation et espèrent que les autorités comprendront que l’intérêt supérieur et l’image de marque de notre cher pays priment sur tout. Elles disent attendre beaucoup de la rencontre du jeudi dernier avec le ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Économie numérique et espèrent prendre langue rapidement avec les ministres de la Justice et des Forces armées afin que les avocats puissent déposer, dans les plus brefs délais, une demande de mise en liberté provisoire pour notre confrère.
Amadou Diop