Pour Cheikh Oumar et Cie, c’est une bonne chose. Car, c’est déjà un acquis pour le collectif des usagers de l’autoroute à péage mais, il attend toujours d’y voir clair sur la répartition et la participation sénégalaise. « C’est quelque chose de bien. Nous voyons déjà qu’il y a un progrès. Ça ne veut pas dire maintenant nous nous sommes soudainement satisfaits mais déjà que ce soit acté, l’ouverture du capital à 25% à l’Etat du Sénégal, c’est important. Maintenant, il faudrait voir comment ces 25% -là vont être utilisés par des Sénégalais au sens propre du terme à savoir par des citoyens sénégalais et le secteur privé sénégalais qui s’y investissent, c’est le minimum » affirme-t-il.
Cependant, c’est une première victoire certes pour eux mais loin de la fin du combat entamé par la société civile. Le coordonnateur du collectif espère qu’avec le démarrage des activités du Ter, les prix du péage vont drastiquement baisser. « Vous avez le Ter qui va démarrer. Ce Ter, forcément pourra impacter aussi sur le tarif . Peut-être qu’on verra le tarif à la baisse. Donc, d’autres infrastructures peuvent avoir le doute mais je veux dire qu’aujourd’hui, on était à 3000 maintenant on est à 2000 sur l’autoroute, peut-être qu’ils vont régresser jusqu’à 1500. On verra », a-t-il souligné.
Cheikh Oumar Sy et ses camarades attendent toutefois plus de transparence dans la répartition du capital de l’entreprise.
Seneweb
Cependant, c’est une première victoire certes pour eux mais loin de la fin du combat entamé par la société civile. Le coordonnateur du collectif espère qu’avec le démarrage des activités du Ter, les prix du péage vont drastiquement baisser. « Vous avez le Ter qui va démarrer. Ce Ter, forcément pourra impacter aussi sur le tarif . Peut-être qu’on verra le tarif à la baisse. Donc, d’autres infrastructures peuvent avoir le doute mais je veux dire qu’aujourd’hui, on était à 3000 maintenant on est à 2000 sur l’autoroute, peut-être qu’ils vont régresser jusqu’à 1500. On verra », a-t-il souligné.
Cheikh Oumar Sy et ses camarades attendent toutefois plus de transparence dans la répartition du capital de l’entreprise.
Seneweb