Les initiateurs entendent ainsi réprimer sévérement les actes contre nature. Dans l’exposé des motifs, ils estiment que 50 ans après le vote de la loi n°66-16 du 1er février 1966 portant Code pénal, celle-ci est maintenant devenue inadaptée à la réalité.
« Le phénomène de l’orientation sexuelle au sens large heurte la morale et les croyances, frise l’indécence, sape la cohésion sociale et détruit les fondamentaux du pays de valeurs au sein duquel nous vivons. II prend des proportions inquiétantes et dangereuses, utilise les moyens de propagande les plus subtils et les plus efficaces, que seul une résistance ferme sous la protection de la loi peut permettre d’arrêter », lit-on dans le document. Selon les initiateurs, cette orientation sexuelle se manifeste sous le sigle Lgbt+ (Lesbiennes, gais, bisexuels, transgenres). A côté du Lgbt+, les pratiques de la nécrophilie et de la zoophilie sont tout aussi repoussantes et contraires à nos valeurs fondamentales », précisent les initiateurs.
« Le texte de loi, dans son contenu 4, présente des limites objectives et reste très évasif. II y a même un décalage entre l’obligation constitutionnelle faite à l’Etat de protéger les mœurs et l’absence de dispositions prévoyant des sanctions contre les auteurs de ces actes ignobles et incompatibles à la survie de l’humanité.
La présente proposition de loi vient ainsi combler toutes les insuffisances notées dans la loi précitée. Elle réprime sévèrement l’homosexualité, la bisexualité, la transsexualité, la nécrophilie et la zoophilie avec des peines à la hauteur de la gravité des actes impudiques ou contre-nature commis par des personnes du même sexe », renseignent les initiateurs du projet de loi.
Ils soulignent que le projet de loi va aussi corriger les manquements relevés dans la loi susvisée et instaurer le délit d’homosexualité, de bisexualité, de transsexualité, de nécrophilie et de zoophilie La proposition de loi répond, enfin, à une demande sociale qui est vivement exprimée par l’écrasante majorité de la population et de toutes les confessions religieuses confondues.
Amadou Diop
« Le phénomène de l’orientation sexuelle au sens large heurte la morale et les croyances, frise l’indécence, sape la cohésion sociale et détruit les fondamentaux du pays de valeurs au sein duquel nous vivons. II prend des proportions inquiétantes et dangereuses, utilise les moyens de propagande les plus subtils et les plus efficaces, que seul une résistance ferme sous la protection de la loi peut permettre d’arrêter », lit-on dans le document. Selon les initiateurs, cette orientation sexuelle se manifeste sous le sigle Lgbt+ (Lesbiennes, gais, bisexuels, transgenres). A côté du Lgbt+, les pratiques de la nécrophilie et de la zoophilie sont tout aussi repoussantes et contraires à nos valeurs fondamentales », précisent les initiateurs.
« Le texte de loi, dans son contenu 4, présente des limites objectives et reste très évasif. II y a même un décalage entre l’obligation constitutionnelle faite à l’Etat de protéger les mœurs et l’absence de dispositions prévoyant des sanctions contre les auteurs de ces actes ignobles et incompatibles à la survie de l’humanité.
La présente proposition de loi vient ainsi combler toutes les insuffisances notées dans la loi précitée. Elle réprime sévèrement l’homosexualité, la bisexualité, la transsexualité, la nécrophilie et la zoophilie avec des peines à la hauteur de la gravité des actes impudiques ou contre-nature commis par des personnes du même sexe », renseignent les initiateurs du projet de loi.
Ils soulignent que le projet de loi va aussi corriger les manquements relevés dans la loi susvisée et instaurer le délit d’homosexualité, de bisexualité, de transsexualité, de nécrophilie et de zoophilie La proposition de loi répond, enfin, à une demande sociale qui est vivement exprimée par l’écrasante majorité de la population et de toutes les confessions religieuses confondues.
Amadou Diop