Recevant le 24 juin dernier les conclusions des travaux du dialogue national, le président Macky Sall a dénoncé les violentes manifestations du 1er et 2 juin dernier. «Nous avons fait le choix de dialoguer bien avant les graves dérives du 1er ; 2 et 3 juin dernier. Des événements inédits pendant lesquels beaucoup de sites sensibles ont été ciblés. Il y a eu des atteintes graves et des dommages sur les biens publics et privés et sur les personnes, d'innocents citoyens qui ont malheureusement perdu la vie », a regretté Macky Sall. Le saccage de certains édifices comme l’Ucad ou le Ter l’a surtout révolté.
«Ils n'ont pas épargné le temple du savoir où des générations de Sénégalais et d'Africains ont été formés. Tout cela nous conforte dans notre option et notre démarche qui consiste à examiner ensemble les écueils, les contraintes du réel pour nous employer à les dépasser », a ajouté le chef de l’Etat. Selon lui, il ne faut pas, dans cette quête de victoire pour l’élection présidentielle, mettre le pays à feu et à sang. «Déstabiliser le pays ne sera bénéfique pour aucun d’entre eux. Il est incompréhensible de brûler l’université ou d’autres institutions », a martelé Macky Sall.
«Ils n'ont pas épargné le temple du savoir où des générations de Sénégalais et d'Africains ont été formés. Tout cela nous conforte dans notre option et notre démarche qui consiste à examiner ensemble les écueils, les contraintes du réel pour nous employer à les dépasser », a ajouté le chef de l’Etat. Selon lui, il ne faut pas, dans cette quête de victoire pour l’élection présidentielle, mettre le pays à feu et à sang. «Déstabiliser le pays ne sera bénéfique pour aucun d’entre eux. Il est incompréhensible de brûler l’université ou d’autres institutions », a martelé Macky Sall.
Amadou Diop